Friday, November 5, 2021

Autopsie d'une saison en Gendarmerie Freeric Huginn pdf completo

Autopsie d'une saison en Gendarmerie

Romans policiers et polars, Freeric Huginn


Autopsie d'une saison en Gendarmerie Freeric Huginn pdf completo - Un grand auteur, Freeric Huginn a écrit une belle Autopsie d'une saison en Gendarmerie livre. Ne vous inquiétez pas, le sujet de Autopsie d'une saison en Gendarmerie est très intéressant à lire page par page. Le livre a pages 182. Je suis sûr que vous ne vous sentirez pas ennuyeux à lire. Ce livre étonnant est publié par une grande fabrication, Freeric Huginn. La lecture de la Autopsie d'une saison en Gendarmerie fera plus de plaisir dans votre vie. Vous pourrez profiter de l'idée derrière le contenu. Télécharger Autopsie d'une saison en Gendarmerie bientôt à votre ordinateur portable facilement.. Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de Autopsie d'une saison en Gendarmerie pour votre référence.

Livres Couvertures de Autopsie d'une saison en Gendarmerie

de Freeric Huginn

4.6 étoiles sur 5 (322 Commentaires client)

Nom de fichier : autopsie-d-39-une-saison-en-gendarmerie.pdf

La taille du fichier : 25.4 MB

La porte s’entre-ouvre, laissant enfin apparaitre notre suspect. Sur le trajet, je m’étais imaginé un monstre, une entité tout droit sortie des profondeurs infernales, un être humanoïde au faciès horrifique tel que l’on peut en voir au cinéma dans Massacre à la tronçonneuse ou Les Griffes de la Nuit ou un quelconque film du genre. Mais la réalité est bien pire...
J’ai maintenant l’intime conviction que l’homme assis à côté de moi, est le cas typique du monstre dont on entend heureusement parler, la plupart du temps, que dans les journaux. Et voici que ma propre Bête plonge son regard hypnotique dans le mien, me susurrant à l’oreille de prendre mon Beretta pour lui coller une bonne bastos de neuf millimètres Parabellum droit dans la caboche, histoire d’effacer de la surface de la Terre pareille vermine. La fureur, la haine et la monstruosité peuvent-elles contaminer ceux qu’elles côtoient ?

Plongez au milieu des entrailles d’une Brigade Territoriale de la Gendarmerie Nationale, et vivez chaque intervention et chaque fait divers issu de faits réels, comme si vous y étiez. Cependant, gardez à l’esprit que le contenu des viscères n’étant pas renommé pour sentir la rose, le ton employé ne devra pas vous étonner. D’autant plus que le tableau dressant l’état général de l’âme humaine, présenté ici, n’est pas reluisant et possède plus d’accointances avec le portrait de Dorian Gray, peu avant que celui-ci eut rendu son dernier souffle, qu’à une œuvre de Botticelli ou encore de Gustav Klimt.Rang parmi les ventes Amazon: #142375 dans eBooksPublié le: 2016-08-17Sorti le: 2016-08-17Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeurLa porte s’entre-ouvre, laissant enfin apparaitre notre suspect. Sur le trajet, je m’étais imaginé un monstre, une entité tout droit sortie des profondeurs infernales, un être humanoïde au faciès horrifique tel que l’on peut en voir au cinéma dans Massacre à la tronçonneuse ou Les Griffes de la Nuit ou un quelconque film du genre. Mais la réalité est bien pire...J’ai maintenant l’intime conviction que l’homme assis à côté de moi, est le cas typique du monstre dont on entend heureusement parler, la plupart du temps, que dans les journaux. Et voici que ma propre Bête plonge son regard hypnotique dans le mien, me susurrant à l’oreille de prendre mon Beretta pour lui coller une bonne bastos de neuf millimètres Parabellum droit dans la caboche, histoire d’effacer de la surface de la Terre pareille vermine. La fureur, la haine et la monstruosité peuvent-elles contaminer ceux qu’elles côtoient ?Plongez au milieu des entrailles d’une Brigade Territoriale de la Gendarmerie Nationale, et vivez chaque intervention et chaque fait divers issu de faits réels, comme si vous y étiez. Cependant, gardez à l’esprit que le contenu des viscères n’étant pas renommé pour sentir la rose, le ton employé ne devra pas vous étonner. D’autant plus que le tableau dressant l’état général de l’âme humaine, présenté ici, n’est pas reluisant et possède plus d’accointances avec le portrait de Dorian Gray, peu avant que celui-ci eut rendu son dernier souffle, qu’à une œuvre de Botticelli ou encore de Gustav Klimt.Présentation de l'éditeurLa porte s’entre-ouvre, laissant enfin apparaitre notre suspect. Sur le trajet, je m’étais imaginé un monstre, une entité tout droit sortie des profondeurs infernales, un être humanoïde au faciès horrifique tel que l’on peut en voir au cinéma dans Massacre à la tronçonneuse ou Les Griffes de la Nuit ou un quelconque film du genre. Mais la réalité est bien pire...J’ai maintenant l’intime conviction que l’homme assis à côté de moi, est le cas typique du monstre dont on entend heureusement parler, la plupart du temps, que dans les journaux. Et voici que ma propre Bête plonge son regard hypnotique dans le mien, me susurrant à l’oreille de prendre mon Beretta pour lui coller une bonne bastos de neuf millimètres Parabellum droit dans la caboche, histoire d’effacer de la surface de la Terre pareille vermine. La fureur, la haine et la monstruosité peuvent-elles contaminer ceux qu’elles côtoient ?Plongez au milieu des entrailles d’une Brigade Territoriale de la Gendarmerie Nationale, et vivez chaque intervention et chaque fait divers issu de faits réels, comme si vous y étiez. Cependant, gardez à l’esprit que le contenu des viscères n’étant pas renommé pour sentir la rose, le ton employé ne devra pas vous étonner. D’autant plus que le tableau dressant l’état général de l’âme humaine, présenté ici, n’est pas reluisant et possède plus d’accointances avec le portrait de Dorian Gray, peu avant que celui-ci eut rendu son dernier souffle, qu’à une œuvre de Botticelli ou encore de Gustav Klimt.Biographie de l'auteurÉcrivain Français, formateur au sein d’une Association Chantier école, motard et passionné par la littérature et la philosophie du Tarot de Marseille.Vous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu Autopsie d'une saison en Gendarmerie. Vous pouvez considérer pour votre référence.

3 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.Le képi du chat noir.Par Karl-Johan von FurstembergLe "chat noir" c'est le surnom donné par ses collègues de brigade à l'auteur, qui nous relate avec classe ses deux années passées, en tant qu'appelé, dans les groupes d'intervention et de surveillance de la gendarmerie nationale. Le "chat noir" c'est-à-dire : pas moyen de sortir en compagnie du gendarme Freeric Huginn sans tomber sur un cadavre...J'ai lu d'une traite ce texte qui m'a captivé et collé aux basques comme une patrouille de gendarmerie à la poursuite d'un délinquant.On pouvait, et je le craignais, vu le sujet abordé, s'attendre à un énième témoignage nombriliste ne dépassant pas le niveau du procès-verbal mais il s'agit ici de tout autre chose. Cette « autopsie » picaresque d'une saison en gendarmerie transcende l'anecdote pour s'élever à l'universel et chacun, même s'il n'a jamais mis les pieds dans une brigade de pandores à quel titre que ce soit, y trouvera un aspect du réel et de lui-même.Comment l'auteur parvient-il à rendre son récit universel ? D'abord il ne se pose pas en vedette et se dépeint sans fard avec ses qualités et ses abîmes c'est-à-dire tel que nous sommes aussi et c'est pour cela que nous nous y retrouvons. Il n'y a pas l'ombre d'un « moi je » dans ce roman-vérité, mais un tableau vivant et sans concession, souvent brutal, des choses telles qu'elles sont en général, c'est-à-dire ni blanches ni noires mais grisâtres.L'empathie pour ses personnages et la lucidité d'analyse, qui sont les qualités premières, avec le style, d'un auteur authentique, imprègnent chaque page. Mais Huggin possède une empathie parfois cruelle et une lucidité parfois idéaliste et c'est en cela que réside l'originalité de sa vision et la marque de son style, un style direct, strié d'humour noir et de compassion désabusée, au service d'un talent bluffant de conteur inné et de philosophe de terrain.Ensuite le tableau des misères psychologiques et sociales qui sont la matière première des métiers de la force publique (violences et dépravations diverses, suicidés et assassinés, violeurs, tarés et délinquants de tout poil) nous plonge dans cette autre face de l'humanité, celle que nous, citoyens communs, ne voyons généralement pas et qui nous concerne pourtant au premier chef, car elle fait, là aussi, partie de notre réalité autant extérieure qu'intérieure. Qui peut prétendre en effet ne jamais un jour avoir affaire à la justice en tant que victime ou justiciable ou ne pas receler dans ses tréfonds un prédateur que seule la peur de la loi empêche de sévir ? C'est aussi en cela que l'auteur élève son récit en montrant très bien que cet aspect sombre de notre société n'est que l'ombre portée de notre noirceur intime.Huggin, pour avoir plongé son esprit et ses mains deux années durant dans le marigot gluant des bassesses humaines est assez lucide pour ne pas se sentir immaculé et le miroir souillé qu'il nous tend reflète aussi notre réalité.Connaissant moi-même de manière plus indirecte les réalités du métier de gendarme, j'y ai de plus tout à fait retrouvé l'ambiance authentique que l'auteur rend remarquablement tangible dans ses descriptions vivantes des lieux et des faits.Parmi les moments forts du texte, les épisodes du violeur d'ado, de la petite noyée et des deux suicidés constituent des sommets : le sordide des faits et la subtilité de l'introspection, l'humour noir et l'empathie sans illusion y sont exprimés par Huggin d'un style sec parfois strié d'éclairs lyriques qui sont frères d'un Frédéric Dard, du Céline du « Voyage au bout de la nuit », d'un Houellebecq ou des meilleurs auteurs de polars français.Ce récit mériterait, moyennant quelques légers remaniements ( la fin est un peu abrupte) et corrections syntaxiques (tout traitement de texte évite rarement les coquilles) d'être disponible en librairie. J'invite vraiment à plonger dans cette odyssée qui ne sent pas la rose mais possède un vrai parfum littéraire : suivez Huggin dans le décor falot des gendarmeries, contemplez avec lui le visage blafard des brancardiers, décomposé des cadavres et effondrés des coupables et des victimes, celui sévère ou jovial des gendarmes et comme lui, je garantis que vous en sortirez avec une vision différente du monde et de vous-même.


Si vous avez un intérêt pour Autopsie d'une saison en Gendarmerie, vous pouvez également lire un livre similaire tel que cc POC, SA CHOSE, Persécutée, A genoux, Les Amants de la Forêt Maudite: Vol. 1 de la Trilogie (MESSIAH), Orphelin, L'INDÉ PANDA, MAGAZINE N°1, La lumière de l'ange gardien, Lettres persanes, Téléski qui croyait prendre (Polar à Suspense des Enquêtes du Poulpe)

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